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"EGYPTE"



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Les nuits au Caire Le vieux Caire Le musée du Caire Les pyramides Le plateau de Gize Les temples du Sud Louxor Etude de temple : dandara La mer rouge Ras Mohamed Le Sinai Sur la piste des caravanes Nuweiba
Capitale : Le Caire.

1 - Le Caire de nuit
2 - Le vieux Caire
3 - Le musée du Caire
4 - Les pyramides mal connues
5 - Le plateau de Gize
6 - Les temples du Sud
7 - Louxor et Karnak
8 - Etude de temple : dandara
9 - La mer rouge pour les touristes
10 - Ras Mohamed
11 - La cote du Sinai
12 - Sur la piste des chameaux
13 - Rencontre avec les dauphins


Le mythique quartier khan-el-khalili. La beauté y cotoit la misère, comme un peu partout en Egypte. Ici vous pourrez trouver tous les souvenirs souhaités, un bon thé à la menthe, une aventure, un narguilé pour la 'chicha'... seule condition : aimer la foule et ne pas craindre de se salir.

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Un mot que vous allez apprendre rapidement en Egypte, c'est 'backshih'. Moyennant backshih, tout est possible, toutes les portes s'ouvrent. Par contre les egyptiens ne se priveront pas de vous en demander pour le moindre petit service. Gare à l'amitié intéressée. C'est d'autant plus dommage qu'a la base (et donc encore dans les campagnes), l'hospitalité et l'aide étaient des valeurs sacrées qui ne trouvaient leur juste récompense que dans le contentement d'Allah. La notion d'argent qui s'est installé avec les largesses des touristes touchés par la misère ambiante gache maintenant le rapport avec les locaux. Mais bon, moyennant backshih donc, on retrouve cette gentillesse et cet empressement à faire plaisir qui est si agréable chez les egyptiens. Ici l'argent m'a ouvert les portes d'un vieux minaret. On y monte par un escalier encombré de gravats, à la lueur du briquet de mon guide. A remarquer au passage, toutes les maisons du quartier sont construites en terre.


Le palais ou se produisent les derviches tourneurs, à gauche sur la photo. A la base c'était un mausolé. On peut en voir bien d'autres dans ce style au milieu de la ville des morts, l'ancien cimetière du Caire. Ancien car il a été récupéré par les vivants sans abris. Il vaut mieux ne pas prendre de photos dans cet endroit car la misère y es plus qu'ailleurs évidente. On peut remarquer la richesse des décors, cette dentelle de pierre, de stuc et de marbre qui témoigne depuis des siècles de l'art des egyptiens pour les constructions.

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Le vieux Caire est un quartier à part. Difficile d'accès, au Sud de la ville, il semble ne pas avoir évolué depuis le moyen-age. Dépaysement assuré meme si le role de voyeur est un peu lourd à porter. Les rues sont en terre, creusées d'ornières ou flotte une boue noire. Des petites boutiques s'ouvrent un peu partout, le jus de sucre de canne y coute 0.1 euros, le koshary (mélange de pates, de riz, de lentilles et d'oignons recouvert de sauce) est vendu 0.4 euros. Sur la photo on voit une mère qui boit dans une jarre. Ces jarres gardent l'eau au frais pour tout le monde. Le gobelet est attaché à l'arbre. Il faut avoir un estomac solide pour essayer d'y boire.


L'étal des poissons. Les mouches ne sont pas vendues avec ! Derrière la fillette, un narguilé.

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Une vue surprenante pour nous que celle de ce chameau qui, effrayé par les voitures, refuse de bouger. Nous sommes sur une des rues les plus importantes du Caire, un peu comme si le chameau était arrêté sur les champs elysés de Paris. Ici en restant 10 minutes au bord d'une rue on est sur de voir passer des vieux vélos chargés de bouteilles de gaz, des charettes tirées par des anes, ou la dernière Mercedes. C'est aussi ca la magie du Caire. Meme si la misère y est partout présente, les riches sont la aussi. Les hotels somptueux et les boutiques chics nous le rappelent. Un tour dans la ville nouvelle d'Heliopolis, visiblement inspirée de l'amérique, suffit à nous rassurer sur le niveau de vie des egyptiens. Le contraste y est juste plus marqué qu'en europe.




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