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"MOZAMBIQUE"
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Capitale : Maputo.
Distance à vélo : 1000 kms.
Distance en bus : 650 kms.
Durée : 3 semaines.
Date : novembre 2002.
Les numéros sur la carte correspondent à des endroits remarquables brièvement décrits plus bas. Pour plus de
précisions sur certains sujets, vous pouvez cliquer sur les liens ci-dessous ou les numéros du haut de la page.
1 - Carte du Mozambique
2 - L'arrivée au Mozambique
3 - Vilanculos (numéro 1 sur la carte)
4 - Je retrouve les Norvégiens à Vilanculos
5 - Inhambane (2)
6 - Tofo, la plage d'Inhambane
7 - La route vers Maputo (entre les points 2 et 6)

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Dune de 50 mètres de haut dans l'archipel de Bazaruto.
L'arrivée au Mozambique a été un choc, je pensais avoir
touché le fond de la pauvreté avec le Sud du Malawi, mais le Nord du Mozambique c'est pire,
les villages sont dispersés, ils ont encore moins de moyens pour faire de l'argent, et la
forêt est partout. Après une semaine d'aventure j'arrive à Vilanculos ou
je retrouve le plaisir de rester six jouurs au camping au bord de la mer à me promener,
jouer aux échecs, discuter philosophie avec d'autres grands voyageurs et visiter les iles de l'archipel
de Bazaruto. Le dernier jour, quelle n'est pas ma surprise de voir surgir les norvégiens avec qui j'ai fait
du vélo en Tanzanie ! Ce sont mes anges gardiens qui sont de retour !
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Enfants sur la plage de Tofo.
Avec un des Norvégiens je repars de Vilanculos direction Inhambane, tout à la joie de se revoir on tombe 145 kms
dans la journée, mon record... Inhambane est une belle ville coloniale, comme Zanzibar,
d'autant plus que le contraste est grand avec les villages alentours. On n'y reste pas longtemps car la plage de Tofo
n'est pas loin et c'est encore un endroit de rêve où on pourrait rester très longtemps.
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La lagune de Quissico.
Comme les bonnes choses ont une fin, après 4 jours à Tofo au bord de l'eau, je repars, tout seul,
les Norvégiens ayant décider de prendre le bus pour accélérer leur sortie du pays pour cause de visa
expirant. La route est intéressante, beaucoup de collines, des palmiers partout, des cases en palmes,
c'est dépaysant au possible. A cause des forêts la vue est limitée, par contre à Quissico, au sommet d'une
grande colline le spectacle est au rendez-vous.
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La plage de Xai-xai.
Il n'y a pas beaucoup d'endroits pour les touristes au Mozambique, mais quand on en atteind un,
il vaut le coup. Là par exemple j'ai une immense plage déserte pour moi tout seul, avec un livre,
de la crème solaire et une bière fraiche c'est le bonheur.
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La plage de Bilène.
C'est une des plages les plus célèbres du Mozambique, le camping est au bord de la lagune et on se rend
en bateau à cette langue de sable qui la sépare de la mer. On demande au bateau de venir nous rechercher
dans trois heures, et, avec quelques sud-africains rencontrés la veille, on joue aux Robinsons-Crusoés.
Il faut dire qu'au bout de deux heures, tout le monde cherche l'ombre, mais il n'y en a pas, alors quand le bateau revient
c'est la joie.
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Maputo.
La capitale, Maputo, est une ville normale, ca surprend, enfin presque normale
car il y a bien des grands immeubles, des monuments, des beaux batiments, des routes droites, des voitures,
des magasins et tout ce que je n'ai pas vu depuis des semaines, mais les rues sont bordées de flamboyants
en fleurs, il y a un musée de la révolutione et la saleté et la décrépitude ne sont pas loin. De ce combat entre
l'Afrique et l'Europe qui se livre dans cette ville depuis deux siècles se dégage une atmosphère romantique
et nostalgique toute particulière. J'ai découvert le centre culturel franco-mozambiquais ou les compatriotes m'ont accueilli
comme un naufragé avec une grande gentillesse. Tout ca fait que Maputo est devenue ma ville préférée sur ce voyage.
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